à Saul de Tarse et du vaste monde.
I.
Cela vous casse les pieds à la fin
la poésie qui parle tant de la mort
et souvent à voix de prêtre mal déguisée
que vous n’encaissez guère.
J’entends bien :
vous voulez vivre et jouir de la saveur.
Quant au poète et son crâne
ô Yorrick
sa scie vous devient lassante.
Soyons donc hédonistes, efficaces ; assumons, quoi !
Donc la mort sans rituel, l’homme
sans destin, la vie sans provenance
(traçabilité des poules / anonymat des pères)
la main mise sur tout : le sperme, l’ovocyte,
l’organe du mourant, l’enfant juste conçu…
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